La seconde guerre mondiale et terreur nazi à Strasbourg

Évacuation 1939-1940
Le 1er septembre 1939 la Wehrmacht attaquait la Pologne, et le 3-9-1939 les gouvernements de la France et de la Grande-Bretagne déclaraient la guerre contre l'Allemagne. Et alors à Strasbourg on avait quelque chose spécial parce que Strasbourg est une ville frontalière: la ville de Strasbourg fut évacué du septembre 1939 au juillet 1940. 100.000 personnes quittaient leur ville est restaient dans la Dordogne et dans la ville de Limoges. Le conseil municipal fut transféré à Périgueux [web01]. L'université de Strasbourg fut évacué à Clermont-Ferrand. Aussi toute la bibliothèque universitaire fut transféré mais après l'occupation nazie de Strasbourg fut confisquée dès le juillet 1940. Ça provoquait une grande résistance entre les étudiants et professeurs d'avant et plusieurs d'eux furent exécutés [musée web02].

Strasbourg et les villes importantes dans Vichy France 1940-1944: Périgueux (2), Limoges (3) et Clermont-Ferrand (4) [1]

Durant 10 mois presque seulement des soldats vivaient à Strasbourg dans la caserne. Puis en juin 1940 des troupes allemandes occupaient la ville. Et durant la occupation nazie les alsaciens furent enrôlés dans l'armée allemande de la Wehrmacht. Beaucoup des jeunes hommes refusaient le service militaire allemand et disparurent dans la clandestinité en France [web01].

La poliqitue nazie á Strasbourg 1940-1944
Sous le régime nazi de Strasbourg seulement les alsaciens d'esprit allemand furent permis de retourner à Strasbourg [musée web02]

Le texte de bienvenu á la gare de Strasbourg en été 1940 - seulement pour des gens "d'esprit allemand" [2]

Aux Strasbourgeois d'esprit français le retour à Strasbourg fut interdit et ses possessions à Strasbourg furent confisqués par l'administration nazie. Les monuments françaises (Marseillaise, Kléber, Jeanne d'Arc et Kellerman) furent détruites et remplacés par des monuments nazis. Aussi des noms des rues furent changés.  Les Strasbourgeois d'esprit allemand pouvaient laisser changer leur nom pour avoir une version allemande. Le bout du régime nazi fut l'éradication du langage français et pour ça aussi le système scolaire allemand fut introduit. La synagogue fut brûlé en 1940 et détruite en 1941. Toute la population devait prouver leur descendance pour prouver de ne pas être juif. En même temps le régime nazi exécutait la propagande normale pour la "Jeunesse hitlerienne", pour la "Ligue des Jeunes Filles Allemandes"  et pour la Wehrmacht. À la fin la populacion fut forcé moralement de donner toutes ses choses de valeur pendant des "recollections". Au même temps des soldats de l'Alsace étaient au front de l'est intégrés dans l'armée allemande (avec on pourcentage de 15% au maximum). Dès 1942 les familles qui avaient un membre qui avait refusé le service militaire furent punies d'une punition générale et déportés à la Pologne. 2,7% des Strasbourgeois étaient victimes comme ça [musée web02].

 
Conseil régional nazi sur la place Roos (français: Place Kléber) - casque de l'armée allemande Wehrmacht à Strasbourg [2]
 
Eine NS-Sammelbüchse - "Sammlung" von Skis für das Winterhilfswerk (wohl eher Beschlagnahmung aller Skis von Strassburg) [2]

Professeurs et l'université
Dès 1940 l'université de Strasbourg fut organizé des nazis et les professeurs français n'étaient plus permis de travailler là mais les professeurs allemands fut installés là maintenant. Les professeurs françaient furent déportés aux camps de concentrations pour travailler avec la haute technologie. Au même temps les professeurs nazis à Strasbourg travaillaient avec un accélérateur de particules - qui était pris plus tard par les français. Dans le camp de concentration de Natzweiler-Struthof les professeurs nazis de Strasbourg faisaient des expériences humaines avec des juifs et avec des tziganes [musée web02].

Le professeur français de Strasbourg M. Charles Sadron comme déporté dans un camp de concentration nazi [2]

La fin
Beaucoup des Strasbourgeois d'esprit français furent dans la résistance commençant à Limoges. Des bombardements des alliés détruisaient le centre de la ville le 11 août et le 25 septembre 1944. E après l'occupation de Strasbourg par les alliés on avait des contre-attaques avec des autres bombardements - jusqu'à 1945 [musée web02].

Les troupes françaises étaient sous l'ordre du général Jean de Lattre de Tassigny. Après la seconde guerre mondiale le nouveau maire M. Pierre Pflimlin commençait un travail de réconciliation avec l'Allemagne et la ville de Strasbourg fut un symbole de l'amitié entre les deux pays et un symbole de la collaboration européenne. Dès 1948 Strasbourg es le siège du Conseil Européen [web01].